Étude

Gaia marchait depuis plusieurs jours pour surveiller les moindres changement et aussi, pour trouver un lieu tranquille pour étudier de nouvelles magies qui seront ceux-ci plus de combat, car elle remarquit rapidement qu'elle avait nombreux pouvoir de protection et presque nullement en attaque. Gaia se rendit dans un lieu elfique dont l'endroit est mystérieux et enchantée à la fois. On ne pouvait faire demi-tour sur ce lieu qui nous attire vers elle. Elle s'avança dans la forêts dont elle ressentait de nombreux animaux dans les parages, mais qui n'avais guère envie d'attaquer la magicienne. Ayant aucun pouvoir en fonction, elle paraissait pour une personne totalement normal, sauf son sceptre qui la trahissait légèrement. Gaia était de bonne humeur et la joie au coeur, mais son visage était neutre. Pourquoi sourire quand personne la voyait? Elle marcha encore et encore pour finalement arrivé sur un arbres dont l'écorce démontrait sa vieillesse. Gaia flatta lentement l'arbre comme pour apprivoiser un cheval avant de monter sur lui. Pour expliquer cela, gaia croyait que tout avait un âmes et pouvait vivre en quelques sortes et comprenait tout se qui se passait autour d'eux. Finalement, elle fesait cela pour dire qu'elle serait accôter sur lui et de ne pas être offusquer par ça. Puis, Gaia se retourna lentement et s'assisa lentement avec son bâton comme appui.

* Ouais, tu ne rajeunit pas ma vieille!*

Elle pensait cela et ça la fit rire légèrement. La magicienne déposa son bâton sur ses jambe bien étendue sur le sol et elle sortit de son sac qu'elle transportait un grand livre avec d'ancienne écriture inscrit dessus. Il s'agit d'un dialecte oublier, mais que Gaia avait appris à lire seulement. Elle feuilleta les pages lentement en regardant de quelle sujet il s'agissait et elle arrêta sur la page pour invocation d'élément naturel. Elle commença à lire lentement pour bien retenir le moindre mot. Elle commençait à être habituer d'étudier de tel livre, maintenant, elle connaissait les meilleurs façon pour retenir le plus possible. Un doux vent vint jouer dans les branches des arbres qui les fit raisonner et entre-choquer pour provoquer une douce symphonie dans les oreille de la femme...

Nusquam courrait depuis un bon moment déjà. Il faisait bien attention à ne pas perdre son chapeau en le retenant fermement de sa main, et il se gardait de laisser traîner sa cane de peur de trébucher. Il faisait de grands bons sous les arbres de la forêt, mais ses pas ne produisaient aucuns bruits. Il se demandait pourquoi il continuait à courir, parce qu’il ne pouvait même pas être vu. Mais il continuait courir.

Ce n’était vraiment pas une bonne idée de marchander avec des orques. Ils étaient peut être facilement manipulable, mais ils étaient aussi extrêmement stupides. Ils l’avaient attaqués! Simplement pour essayer de lui voler son chapeau! Une chance qu’il courrait plus vite qu’eux, et qu’il peut voyager par les ombres, sinon il aurait été découpé en morceaux.

Après plusieurs voyages entre les ombres d’arbres, il finit par remarquer l’ambiance enchanteresse des lieux, qu’il n’avait pas vu à cause de sa hâte. C’était sans aucun doute la mystérieuse forêt créée par les fées. Il avait dû y entrer sans s’en rendre compte, mais maintenant au moins il était en sécurité. Soupirant mentalement, il s’assit au pied d’un arbre. C’est à ce moment qu’il remarqua la femme qui lisait au pied d’un arbre en face de lui. Il se leva brusquement, puis dit d’un ton empressé avec sa voix télépathique :

-Je suis désolé de vous avoir dérangé, vous semblez si concentrée, je devrais m’en aller…

Gaia entendit le son d'un inspiration comme si quelqu'un aurait couru pendant un certain moment. Pourtant, elle n'avait pas entendu de pas sur le sol. Elle referma lentement le livre pour le fermer tout sur sa jambe gauche. Gaia se leva la tête avec un visage neutre et vit un homme en face d'elle. Elle fut un peu surprise, mais cela n'était pas voyant à l'oeil nu. Elle fit un petit sourire au coin des lèvres et elle se retourna en ramassant son livre et le mettre dans son sac avec les autres. Elle referma son sac pour rien ne tombe à cours de route et la magicienne lui dit avec sa voit sage:

- Vous ne me déranger pas mon cher, mais pourquoi donc courrez-vous ainsi? On pourrait croire qu'une horde de loup vient de vous pourchasser.

Elle se leva grâce à l'aide de son sceptre qui était dans sa main droite. Malgré son apparence, Gaia n'était pu aussi jeune qu'avant.

Voyant son attitude bienveillante, Nusquam se rassoit en poussant un autre soupir. Il posa son chapeau et sa canne sur l’herbe et l’humus frais de la forêt en écoutant d’une oreille les sons des animaux alentours. Il redirigea son attention vers la femme à l’aspect et la voix sage.

-Non pas une horde de loups, mais bien une horde d’orques, dit-il. Leurs méthodes de négociations sont assez barbares, et je ne serais pas ici pour vous le raconter si je n’étais pas un si grand adepte de l’art de la fuite.

Il eut alors l’air de quelqu’un qui vient de se rappeler quelque chose d’important.

-L’excitation m’a fait perdre mes manières, je m’en excuse, dit-il en se levant et remettant son chapeau.

Il s’inclina très bas devant la femme en tenant son chapeau et continua :

-Je me nomme Nusquam, et je suis ravi de faire votre connaissance, mademoiselle.

Son visage exprimait la sincérité, malgré son teint pâle et ces immenses cernes.

Gaia ricana en entendant mademoiselle. S'il s'aurait la vrai âge de la femme, elle se ferait appeler grand-mère et plus encore. Elle replaça un peu ses cheveux qui se fesait tasser par le vent frais de la forêt. Gaia lui dit calmement:

- N'essayer pas de marchander avec des orcs. Ils ne sont pas du genre à vouloir parler avec quelqu'un, même à leur propre famille. Il leur manque un brin d'intelligence pour qu'ils puissent comprendre quelque chose. Je me présente, Gaia Alviss. Je suis ravie moi aussi de vous connaitre.

Elle s'approcha plus de l'homme avec un sourire au lèvre et lui dit:

- Dites moi, vous marchandez quoi au juste avec les orcs? Ils n'ont pas des bien très précieux. Ils ont des choses rudimentaires.

Encouragé par le sourire de la femme -Gaia-, il sourit à son tour, bien que plus faiblement. Il n’avait jamais vraiment rit depuis qu’il faisait parti du néant. Il en était tout simplement incapable, comme s’il n’étais jamais d’humeur.

-Je ne voulais pas leurs objets, je n’en ai pas besoin. Je ne faisais qu’essayer d’acheter leurs services, parce que des temps troubles arrivent, et comme je l’ai dit, je suis un maître de la fuite, mais rien d’autre, alors je ne voulais pas me sentir si inoffensif. J’aurais dû me douter que des miroirs ne feraient pas leur affaire… Ils préféraient mon chapeau, et puisque je n’en ai qu’un seul, ils m’ont attaqués. Au moins je vais savoir à présent qu’il ne faut pas négocier avec eux. Mais vous mademoiselle, que faites vous dans ce lieu enchanteur, ce n’est pas tout le monde, je crois, qui doivent savoir comment venir ici, et puisque je suis arrivé par accident, j’aimerais bien savoir qu’elles péripéties vous ont emmenée ici.

Il aimerait bien en savoir un peu plus sur cette Gaia, peut être que finalement ce ne serait pas une mauvaise idée de devenir ami avec elle. Elle semblait d’abord normale, mais son étrange bâton et ses livres à l’apparence antique semblent présager le contraire.

Gaia compris rapidement que l'homme était inoffencif et qu'il ne savait pas se défendre. Elle écouta attentivement les parole de nusquam. Quand il finissa en lui posant cette question, elle fit un sourire au coin des lèvres.

- Je suis une voyageuse et je connais très bien se monde. Nous sommes dans une forêt elfique et j'avoue que peu de personne connais très bien ses lieux. Cette race me fait confiance depuis des lustres. Ils m'ont rapidement respecter et considéré comme un des leur. Je suis venu ici pour étudier un peu des sort de magie, car l'endroit est propice pour faire ça. Et en passant, n'ayez pas peur de moi, je suis une magicienne qui n'attaque quand dernier recours ou bien, pour protéger des territoire qui ne devrais pas être envahi.

Elle replaça son bâton dans son dos pour le porter autre que sa main, car parfois cela lui donnait mauvaise impression au nouveaux arrivants ou bien pour dégourdir ses propre main.

Il sourit intérieurement. Il avait eu raison de penser que cette femme était importante. Il ramassa sa canne parce qu’il n’aimait pas en être séparé très longtemps, même si elle n’a pas d’autres particularités que d’être faites en matière du néant.

-Oh je n’ai pas peur. J’ai déjà vu ce qui fait vraiment peur, mais je préfère vous épargner les détails.

Il parlait du moment infini et instantané à la fois qu’il où il avait aperçu les enfers, et la peur encore plus grande du vide que le néant lui a donné. Mais plus aucune de ces choses ne le préoccupait maintenant.

-La magie… la nature même de la réalité… il doit falloir être très doué pour pouvoir la comprendre.

Le néant haïssait la magie plus que tout autre chose. La magie est ce qui tient la réalité elle-même, et ce que le néant veut, c’est l’engloutir. Nusquam se sentait légèrement inconfortable depuis qu’il savait qu’il était à côté d’un être pratiquant la magie, mais il savait qu’il côtoierais plusieurs avant que sa tâche ne soit terminée. Il reprit son sourire, parce que cette femme semblait tout de même agréable à côtoyer, mais ses yeux le contredisaient par leur mélancolie.

On pouvait entendre des pas d'orc au loin. Il suivait toujours la trace de Nusquam, même si celui-ci avait de nombreuses qualité pour pas se faire ressentir. Les monstres étaient plus à l'aveuglette. Il était rendu attirer par son chapeau et comptait l'avoir le plus vite possible. Gaia fit un sourire au coin des lèvres en attendant ça avancer. Gaia commença à marcher vers une direction et lui dit:

- Vous devriez me suivre avant qu'il vous trouve, car ils n'ont pas l'air à vouloir négocier de nouveau.

Gaia se tourna la tête et fit un clin d'oeil à l'être. Elle trouvait la situation bien drôle à vrai dire, mais elle n'avait pas peur des orcs. Le temps de les trouver risque d'être long malgré tout.

Son sourire disparut. Ils ne le lâcheraient pas. Ce n’est que des orques, mais ils sont ennuyant tout de même.

-Bien entendu, vous connaissez probablement mieux ces lieux que moi, cela nous permettra de mieux les éviter. Ils m’en veulent peut être, mais ce n’est pas une raison pour les tuer.

La destruction ou la sauvegarde d’une petite troupe d’orque comme celle-là ne peux influencer les plans du néant à long terme, et il a gardé assez de son ancienne personnalité pour ne pas aimer enlever la vie, du moins directement. Si les choses s’aggravent, il pourrait utiliser sa technique spéciale, bien qu’il n’aime pas particulièrement l’utiliser.

Gaia traversa au travers de nombreux arbres très bien coller. Elle devait se tourner pour se mettre le plus mince possible et continua le chemin. Gaia savait très bien où aller. Lors des années passer, elle se réfugiait souvent dans des racoin oublier dans le monde dont dans la forêt. Elle descendit une petite pente un peu abrute et elle lui dit:

- Il y a une grottenon loin d'ici qui est magnifique et c'est une bonne occasion pour le faire découvrir. Peu de personne le connais, car il est plutôt bien caché. Il s'agissait d'un refuge pour les pauvre elfe dans le temps. Avec le temps, le monde l'oublie.

Elle ricana un peu et continua son chemin. Ils n'étaient plus bien loin, mais les orques aussi avançaient. On pouvait entendre les pas au loin. Gaia n'avait pas peur, car elle pouvait facilement se défendre.

Nusquam suivit Gaia tant avec facilité, bien que le terrain soit accidenté. Ses pieds passent étrangement au travers des racines et des autres éléments qui dépassent du sol. Il ne rit pas avec Gaia, pas parce qu’il n’a pas le sens de l’humour, mais qu’il ne trouve pas ce qui était cocasse.

-Je voudrais savoir, commença-t-il peu après, je voulais savoir pourquoi m’aidez-vous? Il n’y a pas beaucoup d’avantages pour vous, et vous ne savez pas en quoi je pourrais vous aider plus tard.

Il n’arrive à comprendre qu’une personne peut aider par seule charité, puisque personnellement il ne fait jamais quelque chose que pour rien.